| | | Nathaniel || Présentation. { 100% } |  |
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Nathaniel R. Austen
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Age : 29
Race : Humain.
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 |  Sujet: Nathaniel || Présentation. { 100% }  Ven 17 Avr - 11:18 | |
| Nathaniel Roméo Austen.- Spoiler:
| | « Ah ! Nous allons enfin parler de quelque chose d'intéressant. Moi. Comme vous avez pu le remarquer, je m'appelle Nathaniel Roméo Austen. Oui, ça en fait. Laissez-moi donc vous expliquer. Nathaniel est un prénom que ma chère mère a toujours porté dans son cœur. Elle voulait absolument m'appeler ainsi. Roméo, prénom que je n'aime pas spécialement, aurait dû être mon premier prénom si mon père avait insisté un peu mais heureusement, il ne le fit pas. Pour ce qui est de mon nom, il s'agit de celui de mon père, rien de bien fantaisiste. Mais il est tout de même important de le signaler.
Parlons à présent de mon âge. Rah. Je ne suis pas bien vieux, dommage mesdames, je fais partie des petits jeunots. Je viens tout juste de fêter mon dix-huitième anniversaire. Bon d'accord, ce n'est pas si jeune que ça mais j'ai toute la vie devant moi encore. Enfin, ça, ce n'est pas très sûr, mais passons. Je fais partie des humains. Oui, vous savez ces êtres sans réels dons, des gens sans grands intérêts -pour la plupart- par rapport à ce qui peuple notre Terre. Mais bon, je n'ai pas vraiment eu le choix. »
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Dernière édition par Nathaniel R. Austen le Ven 17 Avr - 18:53, édité 3 fois | |
|  | | Nathaniel R. Austen
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| | Sujet: Re: Nathaniel || Présentation. { 100% } Ven 17 Avr - 11:20 | |
| Sujet 1 . Racontez votre rencontre avec l'une des créations Genesis, n'importe quelle espèce. Comment cela s'est passé? Cela a t-il influencé votre vie? Pensez-vous que vous allez continuer à les fréquenter? « À cette époque encore, je n’étais qu’un naïf à l’ego de mâle bien trop surdimensionné. J’étais bien trop aveugle pour comprendre que tout avait changé dans cette petite ville où je vivais depuis mon enfance. Ou peut être, avais-je simplement peur de me rendre compte de quelque chose. Quelque chose que je ne devais pas savoir, ça j’en étais sûr. Certains habitant de La Crosse n’était pas normaux, j’ignorais encore la vérité qui résidait dans mes mots. »
Le jour filtrait mes rideaux avec une douceur que je ne lui connaissais pas. Une journée de plus, une journée d'ennuis, une journée que je redoutais. Deux semaines. Ça faisait deux semaines que j'essayais de me débarrasser de ce que j'allais devoir accomplir ce jour-là, mais je ne pu rien y faire. Ma petite cousine venait nous rendre visite et j'avais été choisi pour la surveiller et la distraire. Elle arrivait tout droit de France. Une question m'avait brûlé les lèvres des journées entières : « que venait-elle faire dans une ville comme celle-ci ? » Oh, je ne voulais pas insinuer que La Crosse n'était pas une ville des plus intéressantes mais j'espérais tout de même que la France était bien mieux. Je ne voulais pas partir pour autant, mettons-nous d'accord sur cela. J'avais toujours vécu ici, ou du moins, dans mes souvenirs, je me voyais toujours dans cette ville. Je ne connaissais donc rien d'autre que ça. Je soupirais dans mon lit en pensant à la journée qui m'attendait. Ma mère m'attendait au tournant si je n'effectuais pas cette tâche correctement, à croire que je travaillais pour la CIA.
Après quelques longues minutes et plusieurs appels de ma mère, je quittai enfin mon lit dans l'espoir d'apprendre que ma cousine ne venait pas. Oh, c'était une petite fille très charmante. Un bel accent et un vocabulaire très développé pour son jeune âge. C'était une brave petite, mais une petite qu'on ne souhaite pas avoir dans les pattes, elle était simplement agréable à regarder. Comme une poupée. On aime la regarder, mais on joue rarement avec la délaissant pour d'autres jouets. Bon, la métaphore est sans doute mal choisit mais bon. Je pris le chemin de la cuisine, las. Que le ciel me tombe sur la tête, pensai-je. Lorsque je franchis la porte, quelque chose vint s'accrocher à mes jambes comme aurait pu le faire une sangsue. Je me permis un discret sourire. Ma cousine était déjà là. Cinq ans. Elle n'avait que cinq années à son compteur et déjà elle était comparable à une pile électrique. Une enfant hyper-active, sans aucun doute.
- Aloooors ! On fait quoi ?
Elle commençait déjà. Après un nouveau soupir, je lui ordonnais de m'attendre dans le salon. Ainsi, je pris le temps de boire un jus d'orange avant de retrouver la salle de bain pour y faire ma toilette. Il le fallait bien. Lorsque je fus fin prêt, je retrouvai la petite fille. Alice. C'est ainsi que ses parents avaient décidés de l'appeler. D'ailleurs, je me demandais où se trouvaient ceux-ci. Ils étaient sûrement déjà parti se promener. La main droite de la petite fille se glissa dans la mienne. Comme de nouveau calme, oh, je la connaissais bien. Si elle agissait ainsi c'était simplement pour que l'emmène se promener. Chose que je n'avais pas le droit de refuser sous peine d'être réprimandé par ma mère. Il était encore tôt lorsque je l'emmenai se promener dans la ville. Alice était inépuisable alors que moi, je sentais mes forces quitter mon corps au fur et à mesure qu'elle me traînait de rues en rues. Vers midi, elle m'accorda une pause, le temps d'une grenadine dans un espèce de fast-food du centre commercial. Je crus bien comprendre que je n'avais pas été le seul de corvée à sortir un membre de sa famille. Il y avait beaucoup d'enfants, d'ailleurs. Sûrement parce qu'il faisait beau.
L'après-midi se déroula sans soucis. Je l'avais emmenée dans un parc, histoire qu'elle puisse jouer avec des enfants de son âge. Sa peau pâle lui donnait vraiment un air de poupée de porcelaine lorsqu'elle cessait tout mouvement, ce qui n'arrivait de trop peu souvent malheureusement. Je me demandais souvent comment ses parents pouvaient faire. Certes, cette petite était attachante et on ne pouvait que l'aimer, mais elle était très fatigante. L'espace d'un instant, je fus heureux de n'être qu'un adolescent. Dieu merci, j'avais pensé à prendre un ouvrage sur moi pour ne pas m'ennuyer. « Les liaisons dangereuses » de Laclos ferait parfaitement l'affaire. C'était un livre que ma tante m'avait prêtée. Un livre que j'adorais. L'après-midi se termina plus vite que ce que j'aurais pu penser. Je m'étais simplement endormi sur le banc que j'avais gagné pour lire, non loin de l'aire de jeux. Ce fut la petite main de ma cousine qui me secoua afin de me tirer de mes rêves. Elle éclata de rire et une petite course s'en suivi. Je jurais de la rattraper et de lui faire payer la faute qu'elle venait de commettre. Je rigolais bien sûr.
C'est le souffle court et le cœur battant la chamade que nous finissions notre course. Cette petite était vraiment marrante à voir, les joues rosies par l'essoufflement. Elle n'avait l'endurance d'une jeune femme qui aurait pu avoir mon âge et ça se voyait lorsque je lui courrais après. Bien qu'elle soit énergique, elle ne pouvait tenir la distance. Notre course trouva fin à l'entrée de la forêt. Il commençait à se faire tard et je me devais de ramener Alice à la maison. Seulement, celle-ci me supplia pour faire un tour dans cette forêt à l'allure que peu rassurante. Mais après tout, je pensais cet endroit sans risque. Ce fut donc en échange d'un câlin, qu'elle m'offrit sans hésitation, que j'acceptai de l'emmener découvrir ces lieux sombres. Alice ne semblait pas avoir peur, n'était-elle donc pas au courant qu'elle n'était plus en France ? Bien sûr, je lui avais assuré à plusieurs reprises qu'elle ne risquait rien en ma présence. Que je m'occuperais de chaque personne qui voudrait lui faire du mal. Ca avait semblé la rassurer.
Seulement, elle se précipita vers une ombre que je n'eus pas le temps de voir. Me laissant seul face à ces arbres. Je n'avais pas peur pour moi, pas peur de mourir de faim, de soif ou même de froid, cette nuit. Ou bien même de finir ronger jusqu'aux os par une bande de lapins carnivores. J'avais juste peur pour elle. Peur qu'elle ne puisse pas s'en sortir malgré mes efforts. Elle était tellement fragile et vulnérable et personne ne sait exactement ce qui traîne dans les bois la nuit. Puisque oui, comme une mauvaise nouvelle n'arrive jamais seule, le voile noir de la nuit recouvrait tranquillement le ciel comme si rien ne se passait. Je pestai intérieurement contre le ciel qui était décidément contre moi, lui aussi. J'entrepris donc de retrouver ma cousine. Courant à en perdre haleine au milieu des arbres, ignorant de quel côté elle avait pu passer. Ma voix s'élevait de façon régulière pour crier son prénom. C'était vraiment un cri. Jamais auparavant, je n'avais eu l'occasion de crier de cette sorte.
Soudain, la voix de ma cousine, déformé par la peur, s'éleva dans un cri des plus terrifiant. Je sentis même des frissons me parcourir tellement j'avais été interpellé par son appel. Prenant mon courage à deux mains, je prenais la direction du cri. Courant le plus vite possible, le coeur battant encore plus fort. J'avais peur et c'était une chose incontestable. Je ne croyais plus en ces hommes qui répétaient sans cesse ne jamais avoir peur et je les défiais de tous venir prendre ma place, de devoir affronter la dure réalité de la vie. Ce fut sans aucune force que je pus arriver jusqu'à ma cousine. Du moins, jusqu'à un arbre non loin d'elle. Un homme se tenait devant elle. Il possédait une peau bien plus blanche que celle de ma soeur. Il était beau et même moi je ne pouvais pas nier cela. Seulement, l'expression de satisfaction qu'il arborait face à ma cousine ne prévoyait rien de bon. Elle commença à pleurer. Et je fus surpris de constater que malgré ma volonté d'empêcher ce qui allait arriver, mon corps ne pouvait pas bouger, comme tétaniser par quelque chose à laquelle je n'avais jamais voulu croire.
L'homme inconnu à la peau pâle attrapa ma cousine par les cheveux et lui fit tendre le cou. Le dégoût monta en moi d'une façon incroyable. Mais le pire était que j'ignorais si c'était moi ou le monstre face à ma cousine qui me dégoûtait le plus. Je ne pouvais pas faire un pas. Alors que lui, il semblait des plus confiant dans ses mouvements. Ses lèvres se lancèrent vers le cou de ma cousine. Peu à peu, il dévoila ses dents parfaites avant de toutes les laisser sortir, leur offrant par la même occasion le loisir de refléter sous la lune. Mon cœur loupa un battement et mes yeux ne pouvaient quitter la peur qui se dessinait peu à peu sur le visage de poupée d'Alice. N'aurais-je donc jamais les tripes de courir jusqu'à eux et de m'interposer ? Jamais. J'étais bien trop choqué parce que je voyais pour intervenir. On se construit un monde, un monde basés sur plusieurs idéaux ou bien croyances. Comment réagir quand tout cela tombe en miettes ? Et le pire, je crois, c'est qu'on ne peut rien faire contre ça.
Le prédateur, puisqu'il pouvait être considéré ainsi, planta avec une grâce déconcertante ses crocs dans le cou de ma jeune cousine. J'aurais voulu crier pour l'en empêcher mais rien ne quitta mes lèvres. Le sang coulait lentement, salissant la peau blanche de ma cousine au passage. Il faisait donc parti de ceux qui nourrissaient la légende des vampires ou quelque chose dans le genre, non ? J'eus envie de partir avant qu'il en ai fini avec elle, ainsi, j'aurais peut-être pu espérer la revoir. Passer une vie entière à attendre l'arrivée de cette petite. Ca aurait été mieux que de devoir la regarder mourir. Le sang coulait aussi à chaque extrémité des lèvres de l'homme. Je savais qu'il sentait ma présence, je ne sais pas pourquoi, mais il le savait. Ca se sentait, il était capable de savoir combien ça me faisait de la peine. Ou alors, prenait-il toujours autant de temps à achever ses victimes ? Ma cousine ne pleurait plus, son cœur ne devait déjà plus battre. Toute vie, devait avoir déserté son corps et je me sentis honteux. Honteux de ne pas être intervenu. Soudain, un autre bruit se fit entendre, un bruit que je ne pus identifier.
Le corps inerte de ma cousine tombait à terre sans aucun bruit. J'aurais vu son corps se briser en une centaine de morceaux que ça ne m'aurait pas dérangé. Alice ressemblait encore plus à une poupée de porcelaine maintenant. Ses joues ne seraient plus jamais rosies par la gêne, elle ne connaîtrait rien à la vie puisqu'on venait de lui aspirer celle-ci. Le prédateur quitta les lieux avec une rapidité qui me laissa sans voix encore une fois. Je pus enfin retrouver l'usage de mes jambes et courir jusqu'au corps inerte de ma cousine. Je me jurais de la venger ou d'au moins, faire en sorte de ne jamais croiser quelqu'un de la même espèce au risque de me montrer violent. J'ignorais tout d'eux et pourtant déjà je les détestais tous, sans exception. Ne mettons-nous pas les hommes dans le même sac ? Si. Et bien ce sera le même cas pour eux. Je m'en voulais cependant beaucoup. Et encore, c'était quelque chose de faible. Comment avais-je pu rester là, sans agir ? La peur arrive-t-elle donc à nous paralyser d'une telle façon ?
Dernière édition par Nathaniel R. Austen le Ven 17 Avr - 18:55, édité 6 fois | |
| | | | Nathaniel R. Austen
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| | Sujet: Re: Nathaniel || Présentation. { 100% } Ven 17 Avr - 11:21 | |
| ├ Derrière L'écran.
« Ah ? Comment ça, parler de moi ?! Non mais non. Ça va vraiment pas, hein ? Bon aller, je vais faire un petit effort. Commençons par le plus important, suis-je une fille ou un garçon ? Et bien désolé mesdemoiselles mais je suis bien une fifille. Donc, vous n’aurez pas de streap à la cam. Ne pleurez pas va. On m’appelle souvent Darling ou Ma Déesse, c’est parce que je suis vraiment jolie. Non c’est pas vrai, sauf pour Darling. Ah, au fait, le code c’est « Un mouton qui court tout seul dans la prairie c’est toujours plus intéressant qu’un calamar », non ? Ah. Bah tant pis. The man who can't be moved. Bref, j’ai quatorze ans et le premier qui me dit que je suis petite je lui envoie mon clavier dans les dents ! Vous avez pas à en savoir plus, je crois. »
Dernière édition par Nathaniel R. Austen le Ven 17 Avr - 15:36, édité 2 fois | |
| | | | Enea P. Bennett
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| | Sujet: Re: Nathaniel || Présentation. { 100% } Ven 17 Avr - 11:49 | |
| Haaaan t'as pris Matthias chou finalement ! (L)
J'te nem encore plus toi x')
Bonne chance pour ta fifiche XD | |
| | | | Nathaniel R. Austen
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| | Sujet: Re: Nathaniel || Présentation. { 100% } Ven 17 Avr - 12:07 | |
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| | | | Eden P. Gray
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| | Sujet: Re: Nathaniel || Présentation. { 100% } Ven 17 Avr - 17:51 | |
| Bienvenue! =)
Je met ton HTML de musique en spoiler, parce que ça déforme la page.
Tu as fini ta fiche? | |
| | | | Enea P. Bennett
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| | Sujet: Re: Nathaniel || Présentation. { 100% } Ven 17 Avr - 17:52 | |
| Chez moi rien n'est déformé Eden, de quoi tu parles ?
(et non elle n'a pas fini xDD) | |
| | | | Kristen A. Daniels
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| | Sujet: Re: Nathaniel || Présentation. { 100% } Ven 17 Avr - 18:01 | |
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| | | | Eden P. Gray
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| | Sujet: Re: Nathaniel || Présentation. { 100% } Ven 17 Avr - 18:11 | |
| Chez moi, si, c'est déformé. Et pour certains autres ordi, ça doit être pareil. Tu nous préviens lorsque ta fiche sera finie!  | |
| | | | Nathaniel R. Austen
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| | Sujet: Re: Nathaniel || Présentation. { 100% } Ven 17 Avr - 18:55 | |
| Merci beaucoup, fiche terminée.
Ce n'est pas super, mais comme me l'a fait remarqué Enea, ce n'est qu'une Présentation (A) | |
| | | | Enea P. Bennett
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| | Sujet: Re: Nathaniel || Présentation. { 100% } Ven 17 Avr - 18:56 | |
| tchaaaaa je te valide mon mari adoré (L) | |
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| | Sujet: Re: Nathaniel || Présentation. { 100% } | |
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| | | | | | Nathaniel || Présentation. { 100% } | |
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