Il est 8 heures, je sort. Je me maquille un peu, me recoiffe une fois. Je prends et mecs clés et c'est parti je part. J'ai toujours aimé aller a des endroits où les jeunes filles de mon age ne devrait pas se trouver, mais je n'ai jamais été comme les autres, les filles de ma classe habillait leurs poupées comme des princesses, moi j'avais pas de poupée. Une fois j'en ai volée une a une sale peste on se détestait cordialement toute les deux, j'ai cramé sa poupée. J'ai adoré. Encore maintenant quand je vais mal je prends une poupée et je la crame. J'en ai un tiroir plein, maintenant que je peux me les payer. Quand je vous disais que chez moi la normalité n'allait pas. Mais je m'en porte pas mal pour autant, si on oublie le brulage de poupée bien évidemment. Un chien sort d'une ruelle et m'aboie dessus, je lui re-aboie dessus plus fort et faisant une tête qui fait peur, il s'en va la queue entre les jambes et en émettant des sons de chien effrayés vous voyez les sorte d epetit "kaï kaï kaï"? Oui? Et bien c'est cela. Je continue mon chemin quand j'expirais l'air de mes poumons, une petite fumée blanche s'envole et tourbillone dans l'air. J'aime regarder ça, je trouve ça joli. Quand je n'étais encore qu'une gamine, j'arrêtai le temps et prenais des photo du tourbillon de fumée blanche, une photo est d'ailleurs accrochée a mon miroir. J'approchais de la centrale nucléaire, vous devez vous demandez pourquoi je vais là. Et bien, je ne sais pas moi même. Une usine désaffectée. Il doit y avoir obligatoirement des trucs louches. J'aime les trucs louches, en plus maintenant j'arrive a resister a l'appel de la drogue. Enfin soit, j'entre dans l'usine. Il y a une balustrade et en dessous une grande pièce où toute les expériences se retrouvent. Je m'appuie sur la balustrade et reste là, j'ai pas l'intention de bouger. Soudain, je remarque de l'agitation en bas, deux expérience se battent, j'encourage celle qui est la plus faible. J'ai toujours été pour les faibles, ne me demandez pas pourquoi. Au final, celle que j'encourageais a perdue, j'en suis triste. Mais j'ai été très entousiaste pendant la bagarre, je criais, j'encourageai, bref, je me comportais en vrai garçon manqué, cela ne changeait pas beaucoup.