« Alec' T. Carlisle. » | 100%

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Alexander Travis Carlisle. AN HUMAN BOY

Alec' Travis Carlisle.

So. Drink with me...

_ Banalité.

« Alexander Travis Carlisle... »

Un nom ancien, simple, et agréable à prononcer. Un nom empli de noblesse, que le jeune homme a toujours adoré. Enfin, jusqu'à un certain point. Car s'il aime le nom Alexander, il le trouve parfois dur à porter, surtout depuis son départ de chez ses parents. Un barman nommé Alexander n'est pas crédible. Alors à La Crosse, ça sera Alec, ou rien. Et surtout pas Alex', qui est un pseudonyme bien trop courant

« 24 printemps. »

Vingt-quatre années d'une vie bien remplie, et qui ne sont pas prêtes de s'arrêter. Alec entends bien rester en vie le plus longtemps possible, même s'il voudrait avoir la possibilité de rester jeune

« Le 05 août. »

Un début d'été comme les autres à Londres, jusqu'à ce que naisse un petit garçon du nom d'Alexander. Fils du riche historien anobli par la couronne, James Carlisle, ainsi que la belle Zophia, danseuse des ballets russes, d'origine suédoise, l'enfant montre dès son plus jeune âge un caractère posé ainsi qu'une intelligence exeptionelle ...

« Du sang mélangé. »

Né à Londres d'un père évidement londonien, et d'une mère Suédoise, le beau brun est heureux d'être une sorte de bâtard. Car c'est pour lui la seule chose qui n'est pas parfaite dans ses origines, et cela le rassure. Après tout, une personne parfaite en deviendrait effrayante...

« MORE ! »

Alec a une jeune sœur, Emery, qu'il adore littéralement. Très différent, les deux représentant de la famille Carlisle se complètent pourtant. Maintenant Barman au plus connu des bars de la ville, le jeune homme est quelqu'un d'assez maladroit par moment. Il tient très bien l'alcool, et aime rire. Il lit beaucoup aussi, et passe le plus clair de son temps à écouter de la musique, ainsi qu'à chanter ...

« For some reason I can't explain, I know Saint Peter won't call my name .. Never an honnest word. But that was when I ruled the world ... »

» Moi c'est Say. J'ai 15 & j'suis belge. Mais on
s'en fou, parce que tu m'connais.
Bah oui. La p'tite tarée/obsédée Summer D. Jackson, ben c'moi !
Ha ha. J'vous ai tous eu. xD

» The man who cant' be moved.

Sujet 1 .

» Alec', tu gère seul pendant une heure. Fais pas de bêtise gamin, je serai de retour dans pas longtemps pour te botter les fesses ...

Relevant la tête, j'observais avec les yeux d'un enfant préparant un mauvais coup mon nouveau patron. Plutôt athlétique, il était maintenant un peu trop vieux pour charmer les clientes, et trouvait donc que j'étais le parfait nouvel appât. Bon. Pas que ça me déplaise, loin de là... De plus, un job dans le Dark side ne se refusait pas. Enfin. M'approchant avec assurance de l'ordinateur où était installée la ligne de diffusion pour la musique, je choisis une chanson relativement mélancolique de Jeff Buckley ; Hallelujah. Un choix rapide, et qui ne me ressemblait pas trop, mais qui me changeait pour un instant du son au rythme mouvementé des années rock'&'roll. Pour une fois, le bar était désert. C'était dommage, mais ça me laissait un instant de répits que je mis à profit pour m'octroyer un verre de vodka, que je me décidais quand même à noter sur la liste qui servait à recenser les consommations des employés. Parfois, je m'étonnais de ma gentillesse. Enfin. M'appuyant au bar, je laissais finalement mes pensées dériver au gré du rythme chaotique de mes idées. Et là, comme à chaque fois que je me permettais ce genre de chose, mon cerveau se braqua sur un seul et même nom. Carlisle. Oh, je ne suis pas un mégalomane, loin de là. Mais simplement, les membres de la richissime famille Carlisle commençaient sincèrement à m'ennuyer. D'abord mes parents, qu'il faudrait bien que j'appelle un jour. Je poussais un soupir, en admettant malgré moi que partir sans mot d'excuse après une violente dispute était assez mesquin. Bien sûr, je l'avais déjà fait. Et puis, à 24 ans, je me voyais mal continuer à obéir à mes parents. Néanmoins, laisser tomber la fortune familiale pour devenir barman ... Mon père avait dû faire une attaque en l'apprenant, même s'ils ont fini par accepter. L'idée qu'aucun de leurs enfants ne les représentent lors de soirées mondaines pendant leur vieillesse les ennuyait. Bon. Tant pis & trop tard, j'assumais. Mais restait un autre problème ... Un problème au charme fou, et au caractère de feu. Emery Lucifer Carlisle.

Elle allait me tuer. Ma petite sœur était une reine depuis sa naissance. Toujours décidée, il était rare qu'on lui refuse quelque chose. Bien entendu, ce gène nous semblait commun, vu que j'obtenais souvent ce que je désirais. Mais Emery avait quelque chose de plus. Elle était sûre d'elle. Elle était le charme incarné. De mon côté, j'étais plutôt hésitant, et quant à mon charme incarné, je l'utilisais certes souvent, mais jamais jusqu'au bout. Enfin. Le résultat final étant que ma cadette allait me sauter au cou en me voyant, afin de mieux me faire remarquer mon absence de mail ces derniers temps. Mais au fond, tant pis. Elle pouvait m'engueuler tant qu'elle voulait, parce que ça ne durerait pas longtemps. Nous étions proches, tout les deux. Je l'adorais littéralement. Après tout, elle était géniale, Emery. Et nous retrouver ici nous permettrait peut-être de tout recommencer à zéro. Du moins, à partir d'un certain point. Je l'espère amèrement. Après tout, j'ai été bête de laisser notre relation se détériorer de la sorte... Et je continuais de divaguer comme ça un instant, plongé dans mes pensées. Puis un pressentiment me fit lever la tête, et je sursautais légèrement. Une femme se tenait là, et je ne l'avais pas entendue entrer. Lorsque je l'ai vue, elle se tenait dans l'ombre, les yeux fermés. Un instant inquiet, je fus néanmoins soulagé lorsque j'aperçus enfin sa poitrine se soulever au rythme lent de sa respiration. Mon regard se perdit sur ses traits, les examinant, les mémorisant. Je l'identifiait peu à peu à ces êtres mythiques qui hantent nos nuits. Effectivement, et bien que je n'aies jamais cru aux fables et aux superstitions, mon esprit ne pu que s'emballer ... Je classais ses différences au rang de symptôme. Sa pâleur, lui donnant un air irréel à la pâle lueur du soleil couchant. Son immobilité, la confondant en une statue d'ivoire et de pierre. Sa beauté, fascinante et étrange, mais pourtant si inquiétante ...

Soudain, brisant la quiétude rassurante de mes observations, un sourire malicieux vint se déposer sur ses lèvres fines, y dessinant un avertissement assuré et amusé. J'étais découvert. Mais, jouant le tout pour le tout, je décidais de continuer. Après tout, cette magnifique femme était une cliente, l'observer était presque un devoir ... Je me perdis dans le dédale soyeux de ses boucles brunes, puis fini par accorder un instant à ses vêtements. Habillée sobrement, il y avait pourtant en elle un petit quelque chose de provocateur, de mutin. De plus, sans qu'elle ait l'air d'une enfant de riches, il était clair que ses vêtements étaient griffés de grands couturiers... Décidément, cette jeune femme avait tout pour se démarquer. Absolument tout. Ses yeux, lumineux et incroyablement profond, s'ouvrirent pour me fixer directement. Surpris, je reculais d'un pas, manquant de lâcher le verre que je tenais. Ma main vint ébouriffer mes cheveux dans un signe que beaucoup de gens interprète pour de la timidité, mais je me résolu à y ajouter un sourire avenant. Après tout, je voulais changer de vie. Il fallait bien que j'arrête d'être gêné à tout instant. Mais à nouveau, l'inconnue me captiva. Elle s'avança vers lui, d'une démarche gracieuse et digne d'une reine. Comment un seul être pouvait-il être aussi parfait ? C'était suspect. Mais tellement attirant ... Me mordant les lèvres, je me fini par me forcer à penser autre chose. Je baissais les yeux, et fixait une bouteille de vodka. Well. Me raclant la gorge, je levais la tête pour lui demander ce qu'elle voulait. Souriante et naturelle, elle me répondit qu'un cocktail serait parfait. Je lui proposait plusieurs idées, et elle opta pour un sex on the beach, que je me dépêchait de lui préparer. Réfrénant ma nature plutôt maladroite, je parvins à le faire sans exploser de faire, ce dont je fus fière. Ne pas passer pour un dégénéré aux yeux de cette cliente me paraissait important, à cet instant. Le silence s'installa à nouveau, tandis que je me contentais de vaquer à mes occupations sous l'œil attentif de la Donzelle. Je ne me risquais pas à parler, et elle semblais se contenter de l'absence de paroles, aussi l'instant fût-il parfait.

Enfin, jusqu'à ce que mon patron ne rentre. Bruyant, il me parût grossier et barbare, sans que je ne sache vraiment pourquoi. Bizarrement, mon avis fut apparemment partagé, parce que l'inconnue se releva avec un réflexe incroyable. Elle se retourna, et observa mon boss avec un regard haineux qui me surpris. Un instant, je crû même entendre un grondement sourd sortir de sa gorge, jusqu'à ce que je me convainque que j'avais rêvé. D'un geste brusque, l'inconnue tira un billet de sa poche, et me le tendis en murmurant que je garde la monnaie. Silencieux, je lui sourit et pris l'argent, frôlant au passage sa peau qui me parut d'une froideur maladive. Elle rompit le contact, et sortit de la salle, apparemment furieuse. Je ne compris pas, et ne cherchais pas à comprendre. C'est mon patron, qui s'approcha, et me lâcha d'un ton grave ;

» Attention gamin, ces bêtes là ne sont pas les plus gentilles du coin. Ne tombes pas sous leur charme, ou ça sera ta dernière chute ...

Ébahi, je l'observais un instant sans comprendre. Pourquoi me mettre en garde contre cette déesse ? Mais il avait peut être raison, et mon pragmatisme me força à avouer que l'un de mes premiers sentiments en la voyant avait été la méfiance. Mais malgré tout, le terme "bête" m'avais choqué, et je retins ma fureur avec difficulté en nettoyant le verre souillé. Mes pensées bouillonnaient littéralement, et même les autres clients, qui arrivèrent peu après, ne purent m'empêcher de penser à cette rencontre. Des dizaines de questions et d'hypothèses se bousculaient dans mon esprit, et lorsque je put enfin partir vers mon loft, ce fut avec un mal de crâne horrible. Cette rencontre m'avait perturbé plus que je ne l'aurai voulu, et avait eu pour seul mérite de sortir complètement Emery de mes pensées... Ce qui, en l'état actuel des choses, m'évita un autre mal de tête ...

[ La fin est nulle. Tant pis. ]

FRÉROOOOT!! Friend

Bonne chance avec ta fiche! love

Welcome here Very Happy

Viva la vida Coeur1

Thank's.

Invité

Bienvenue ! (=

Invité

Bienvenue parmi nous love

Merci tout le monde. =)

Halleluah... Coeur 4

J'adore cette chanson _____________*

J'aime bien ton histoire... Pauv' Emery, le monstre en puissance! x'D
La fin est un tout pitit peu baclée, mais ça va! =)

Fiche validée, mon cher! =D

NAAAH GREEN DAY XD
Surtout celle-là !
Bienvenue XP

Je nem ta préso x)
Et j'ai pas vu de mauvaises allusions envers Emery, moi, ou alors je suis stupide XDD
M'enfin!
J'ai hâte de rper avec toii!! love

» E.Carlisle } some of them
» E.CARLISLE } what i expected...
» EMERY CARLISLE IS LOOKING FOR... 01 sur 02 libres!
» [ Alec's links...
» Aux heures creuses, on peut faire de belles rencontres {Alec'}