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 p. eva callahan - « un sourire, c'est de l'espoir en barre » LOADING

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M. Infinie Salieri
Aidan G. Williams
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MessageSujet: p. eva callahan - « un sourire, c'est de l'espoir en barre » LOADING   p. eva callahan -  « un sourire, c'est de l'espoir en barre »     LOADING Icon_minitimeLun 19 Jan - 5:57

p. eva callahan -  « un sourire, c'est de l'espoir en barre »     LOADING 5bzonp
by misery angel from bazzart

    Lips of an angel

    « Phoebe Eva Callahan, ravie de faire votre connaissance. C'est plutôt ironique de dire que je fais la connaissance de quelqu'un quand je parle à un papier. Je suis assise à un bureau, face à ce gros volume en cuir relié, où je croyais trouver une fontaine de savoir. Ça m'apprendra, c'est totalement vierge, ces pages-là. Alors je l'ai gardé, parce que j'en avais envie, et que personne ne se souciera jamais d'un pauvre ouvrage malmené par le temps. J'y apposerai ce qui me passe par la tête. Un jour, même, je pourrai lui donner un nom. Pour l'instant, il me suffit d'accepter que je m'adresse à des feuilles de papier où je pose mes mots. Je suis habituée de les crier, de les chanter, mais pas de les écrire. Je ne m'arrête jamais, je suis une vraie toupie. Une tornade, un ouragan. Une pile Energizer, tiens. J'aurais été une gamine infernale, si je me rappelerais de mon enfance. En attendant, j'ai plus ou moins 15 ans, mais j'en apparais à peu près vingt et des poussières, je crois. Je m'y suis jamais réellement arrêté. Je préfère sourire et vivre pleinement le temps qui passe. Ce doit être du au fait que je ne suis pas une être humaine tout à fait normale. J'ai, ce qu'on peut appeler un " don ". Je fais partie d'une expérimentation ayant reçu la mention de " Métamorphes " et je me plais à manipuler le feu, le créer aussi, et le contrôler. Pyrokinésie, un truc comme ça. Oh baby I'm burning for you right now... »
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MessageSujet: Re: p. eva callahan - « un sourire, c'est de l'espoir en barre » LOADING   p. eva callahan -  « un sourire, c'est de l'espoir en barre »     LOADING Icon_minitimeLun 19 Jan - 6:04

Sujet 3 . Racontez une aventure entre vous et un ou une humaine, où vous avez dévoilé votre pouvoir. Comment cela s'est passé? Comment l'humain l'a t-il pris?


p. eva callahan -  « un sourire, c'est de l'espoir en barre »     LOADING 24fd3ck
misery angel @ bazzart


    Chapitre I « Les déceptions ne tuent pas et les espoirs font vivre »
    Il y a certaines choses que des gens comme Eva doivent apprendre d'eux mêmes. Sans guide pour les mener à bon port, personne pour leur dire et leur apprendre ce qu'est la vie et comment on doit se comporter au cours de celle-ci. Respirer, manger et dormir est un apprentissage facile, même par soi même. Les relations humaines sont tout autre chose, et bien que la jeune femme n'eut jamais de problème à s'entendre avec le genre humain et les gens de sa « race », cela ne veut pas dire qu'elle comprenne l'essentiel. Elle n'effleure que la surface, avec sa bonne humeur, sa gentilesse et ses sourires. Eva est contagieuse, dans tous les sens du terme. Elle adore prodiguer un peu de bonheur dans le coeur des gens. Par simple gentilesse. La blonde est bonne, de nature, et a tendance à voir le bon dans toute personne. Elle a tendance à croire à un monde idyllique, où chacun à une place, sans distinction d'avoir un pouvoir ou non, ou d'être noir ou caucasien. Eva Callahan était, comme à son habitude, en train de se promener dans une ville. C'était San Francisco, et c'était il y a deux ans. Elle traînait, comme à son habitude, sans rien demander à personne. Difficile à vivre, elle ? Pas le moins du monde ! « Pardon mademoiselle ». La jeune femme releva les yeux pour croiser ceux vert forêt du garçon. Ces derniers lui parurent mornes et peinés. Ne supportant pas une telle vision, la Métamorphe lui adressa un des sourires dont elle avait le secret, celui où la fossette sur sa pommette ressortait et où ses yeux brillaient , pareil à mille saphirs bercés par les rayons solaires « Ce n'est rien. Il y a bien pire, je suppose » Le jeune homme sourit, et il ouvrit la bouche, entrouvrit les lèvres, et Eva attendit qu'un son en sorte, mais rien. Il les referma, fit un signe de tête et continua son chemin. La blonde se retourna, apercevant à l'horizon le Golden Gate Bridge, et retourna à sa vie.

    Trois jours plus tard, elle était assise à ce café. Jamais elle ne parviendra à oublier ce moment. Sirotant un café au lait, un grand bol où il y avait une tonne de crème fouettée, une voix masculine se fit entendre « Vous en avez sur le nez, mademoiselle ». Eva releva la tête, la moue rieuse avant d'éclater de rire en reconnaissance plus ou moins le garçon face à elle « Ce n'est rien. Il y a bien pire, comme sort » avant d'entendre son rire à lui. Merveilleux, qui noyait le bruit des voitures dans la rue. La blonde l'invita à s'assoir, se tassant légèrement sur sa gauche. Le voyant hésiter, elle lui fit signe de s'assoir. Le jeune homme lui avait paru sympathique, et son rire l'avait charmé. Parler avec lui, discuter tout simplement lui paraissait de bon augure. Légèrement gêné, il s'assied donc en sa compagnie « Vous voulez quelque chose... euh », et il lui répondit « Carter ». La jeune femme se présenta à son tour, et la discussion alla de bon train, jusqu'à un moment précis où Carter pris la parole « Hier, quand je suis tombé sur vous, Eva, je me dirigeais sur le pont pour une raison précise. Je voulais en finir, Eva, pour de bon. Pour ne plus avoir mal, pour ne plus être déçu ni décevoir, mais je suis tombé sur vous. Eva, vous et votre sourire, je ne saurais l'expliquer, mais je n'ai pas pu... »

    Avec le temps, les heures, le café qui se prolongea jusqu'à tard dans la soirée où, galamment, Carter Baizen la raccompagna au motel où elle avait élu domicile pour quelques temps. Eva ne comptait pas, à la base, s'attarder. Pourtant, les yeux verts de Carter, sa douceur et sa fragilité l'avait secoué. Il lui avait avoué par la suite que son sourire lui avait rappelé à quel point il y avait de belles choses pour laquelle on devait en subir d'autres. À ses paroles, Phoebe Eva Callahan se rappelait avoir ressentit un frisson qui passa de sa nuque jusqu'à sa colonne vertébrale. Elle n'aurait jamais cru qu'un simple sourire puisse faire autant. Elle se savait joviale au point d'en énerver certains, car elle avait cette ferme sensation que la vie était trop courte pour se prendre la tête. Sa sensation, que l'on peut rebaptiser intuition, a eu pour effet de sauver une vie, ce jour-là. Au creux de son lit, la Métamorphe mis du temps à s'endormir, retournant et retournant encore. Pourtant, c'est avec un sourire aux lèvres qu'elle parvint à se laisser bercer dans les bras de Morphée.


    Chapitre II « Il n'est de véritable déception que de ce qu'on aime »
    Qui eut cru qu'il la rappelerait ? Trois jours plus tard, elle recevait de ses nouvelles. Il l'invita à faire un tour de bateau, un de ces amis lui avait gentiment offert pour la journée. Il ne faisait pas extrêmement beau, mais là n'était pas la question. Sous le charme, Eva Callahan s'empressa d'accepter l'invitation, fébrile à l'idée de revoir le jeune homme de 22 ans. Elle était plus jeune, et nettement, mais son organisme n'étant pas totalement humain, c'était dans ses cordes. De plus, c'était de plus en plus commun, chez les filles de son âge, de s'enticher de quelqu'un de plus vieux. S'enticher, déjà ? Un vrai coeur d'artichaut, cette blonde ! Lorsqu'il vint la chercher, il ne put s'empêcher de demander « Tu comptes vraiment sortir comme ça, avec le temps qu'il fait ? ». La jeune femme haussa un sourcil, jetant un coup d'oeil à ce qu'elle avait sur les fesses. Des shorts de denim, avec un t-shirt blanc tout simple. Jetant un coup d'oeil par la fenêtre, elle remarqua la pluie. La pyrokinésiste frissonna, elle détestait la pluie. Elle détestait l'eau, d'ailleurs. Puis, cela s'imposa. Bateau. Cours d'eau. Elle bredouilla quelque chose d'inintelligible, puis fila dans sa chambre enfiler autre chose, par simple soucis du détail. Elle savait qu'elle aurait trop chaud et s'en maudirait, mais pour rassurer un humain, qu'est-ce qu'elle ne ferait pas. Elle entendit « Eh merde, qu'est-ce qui s'est passé dans le salon ? » Cette fois, elle se mordit la lèvre. En s'amusant avec un briquet, elle avait fait une sacré pagaille. Son don la trahissait, surtout quand on toquait à sa porte en même temps qu'elle tenait immobile une boule de feu dans un salon. Insouciante ? Un peu, mais c'est encore une gosse, aussi « Ça ? C'était comme ça quand je suis arrivé. C'est bon, je suis prête » Et elle sortit de la chambre avec un sourire, attrapant la main qui lui offrit le jeune homme, ravie.

    Ce ne fut pas sa seule sortie en compagnie du jeune homme. Carter Baizen s'avéra être un étudiant en sciences politiques fort doué, mais avec une vie personnelle qui déraillait. Elle apprit que ses parents s'étaient quittés alors qu'il avait trois petites années. En fait, sa mère était parti avec lui dans les bras alors que son père l'avait frappé un peu trop fort, la veille. Il n'avait plus eu de nouvelles de ce dernier, jusqu'à ce qu'il lui offre une bourse d'études. Il avait fait fortune, et avait trois autres enfants. Lui qui n'avait pas le sou avait accepté, malgré tout, l'argent de son père. Il avait dîné en sa compagnie, bu en sa compagnie, rencontrer la nouvelle famille de ce dernier, et finit par tout au moins l'apprécier, malgré tout ce qu'il avait fait subir à sa mère. Non sans réserve, mais, comme il dit, «tout le monde peut changer ». Fascinée, ébahie, Phoebe dévorait chacune des paroles, les buvant littéralement. Elle qui n'avait pas d'histoire propre, aucune histoire familiale se laissait bercer par celles des autres. Elle rêvassait à une, la façonnant mentalement comme un divertissement. Il lui raconta qu'il sortait d'une relation avec une fille, qui s'était terminé en queue de poisson quand elle lui avait signifié qu'elle voyait quelqu'un d'autre. Non-officiellement. Elle le lui avait confié après avoir donné des excuses bidons à des rencarts où elle lui avait faussé compagnie. Que lorsqu'il lui demanda comment elle avait eu le bleu qui ornait sa hanche, ses yeux semblèrent paniquer, mais elle trouva, en marmonant, une excuse. Peu plausible. Un simple accident, elle était tombé en se heurtant sur sa table de chevet. Pourtant, Carter dit qu'il s'était étouffé en reconnaissant la Porsche de son père venir chercher l'étudiante de 21 ans devant sa porte, alors que sa femme - elle s'appelait Winnie - s'occupait de leur dernier enfant. La nature humaine, cruelle. Eva ne sut que dire, que répondre pour le soulager. Elle se contenta de poser sa main sur la sienne, en tentant de ne pas montrer la peur qui l'emplissait. Tout cet eau, sous ses pieds, la terrifiait « Tu sais, Eva, tu es comme personne, et personne n'est comme toi, dis-moi ton secret ». La blonde se mordit la lèvre. Devait-elle, la croirait-il et, surtout, ne la fuirait-il pas ?


Dernière édition par P. Eva Callahan le Lun 19 Jan - 8:41, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: p. eva callahan - « un sourire, c'est de l'espoir en barre » LOADING   p. eva callahan -  « un sourire, c'est de l'espoir en barre »     LOADING Icon_minitimeLun 19 Jan - 6:12

    Chapitre III « Plus l'espérance est grande, plus la déception est violente »
    Il y a un mois, Carter Baizen désirait mourir. Il y a un mois, il rencontrait Phoebe Eva Callahan, et là, elle était appuyée sur son torse nu, enveloppé dans les draps de la chambre du jeune homme. Dans le foyer se dégageait une chaleur cuisante, dû aux flammes qui léchaient doucement un bois qui grésillait en dégageant son odeur particulière. Le bras de l'étudiant entourait le corps d'Eva, et elle souriait. Elle était heureuse, très heureuse, car elle pouvait dire que le jeune homme lui plaisait beaucoup. Elle était presque certaine d'en être amoureuse. Les attentions qu'il lui prodiguait la faisait rêver, comme la fois où, au cinéma, il avait daigné sortir de la projection pour lui ramener des jujubes qu'elle adorait, pour lui faire plaisir, ou encore celle où ils avaient dîner ensemble tout près de chez lui, mais Carter avait insisté pour la raccompagner, à pied, pour lui faire profiter de San Francisco, avant de retourner chez lui. Ce soir-là, elle l'avait embrassé pour la première fois, goûtant le sucre de ses lèvres, avec un adorable arrière-goût pétillant de son eau citronnée. Il ne buvait pas. Son père, lui avait-il dit, ne frappait sa mère que lorsqu'il buvait. Lui ne buvait pas, de peur de faire de même avec quelqu'un, un jour « Carter, tu ne devrais pas avoir peur de tout, se rappelait-elle lui avoir dit, tu n'es pas lui ». Il s'était énervé, mais s'était excusé le lendemain. Le garçon ne s'était pas offusqué quand elle lui avait dit ne pas avoir envie de parler de son enfance. Eva n'avait pas envie de lui mentir, et comme ses souvenirs n'étaient pas ceux que l'on s'attend d'une jeune femme comme elle, elle préférait se taire, et écouter le doux battement du coeur de Carter « Quand vas-tu me confier quelque chose à propos de toi, Eva ? ». Il l'avait bercé de son histoire, imprégné de chaque souvenir qui faisait de lui ce qu'il était, Eva se sentit soudain égoïste de ne rien dire. Elle se serra contre lui, et huma son odeur. Elle avait encore peur. Jamais elle n'avait confié cette faculté qu'elle avait de maîtriser le feu. Personne ne l'avait questionné sur la raison pour laquelle elle traînait toujours un briquet, alors qu'elle ne fumait pas. Pas plus que la raison pourquoi dans tout endroit où il y avait du feu, il était attiré par elle. Ni qu'elle avait le corps plus chaud que la normale, comme si une fièvre délirante l'animait en bouillant son sang. Lui si. Il était curieux, et intelligent. Peut-être un peu trop futé, aussi « Tu me croiras si je te le dis, peu importe ce que c'est ?». Elle le regarda, presque suppliante. Il lui assura que oui, mais qu'il désirait le savoir si elle y tenait. Il était gentil, si gentil. Se redressant, enroulant un drap autour d'elle, respirant un bon coup, encore appeurée...

    «Je t'aime ». Il lui avait dit. Ces trois mots magnifiques, officiels et merveilleux. Ses yeux criaient qu'il le pensait, son coeur battait si vite, et son corps brûlait comme jamais. Elle posa son regard bleuté sur lui, l'enveloppant, fort de tendresse et de douceur. Son corps se mis à trembler, et un frisson la traversa tout entière. Elle n'aurait jamais cru que ces mots puissent la mettre autant en émoi, malgré ce qu'on en disait. Les films, les livres, ce n'était rien en comparaison de ce que l'on ressent quand on se le fait dire pour de vrai, avec une authenticité indéniable et touchante. La jeune femme posa ses lèvres sur les siennes, sans pouvoir effacer son sourire, puis recula, son visage irradiant d'une joie pure et divine. Posant sa main sur sa joue, souriant doucement, Eva respira à nouveau profondément, puis commença à raconter son histoire. Elle y inclua tout ce qu'elle se rappelait, de sa création, du docteur, de l'Area 51 et de sa destruction. La Métamorphe lui parla même de son don, puis se servit du briquet pour créer du feu, le pétrissant entre ses doigts avec une douceur protectrice, presque maternelle, «Je parviens à maîtriser les étincelles, et même les créer » avant de le faire flotter légèrement en le dirigeant vers deux chandelles, sur la commode. Détournant la tête pour le voir recroquevillé, un peu plus loin, elle tendit la main pour la serrer dans la sienne, se mordant l'intérieur de la lèvre « NE ME TOUCHE PAS ». Son coeur se serra, ses battements s'accélérèrent. Il n'y avait plus aucune douceur dans son regard, il n'y avait plus l'amour ni même une étincelle qu'elle saurait raviver. Rien, le néant. Il n'était que peur et dégoût. Sa lèvre inférieure se mit à trembler, et ses yeux berçaient dans l'eau. Le contrôle de sa flamme lui échappa, et le bois de la commode subit alors les assauts de son tendre ennemi. Paniqué, il la regarda, horrifié « Sors d'ici, pyromane ! » Les larmes sortirent de leur nid. Le dégoût. La peur. La haine, tout ça en même temps, jetés en plein visage. Son visage. Ne songeant même pas à se rhabiller, elle sortit en sous-vêtement en plein couloir, le visage baigné de larmes tandis que les flammes grésillaient de plus belles dans la chambre de Carter Baizen, laissant derrière elles deux coeurs en cendres...

    Chapitre IV « Si c'était à refaire, je le referais »
    Phoebe Eva Callahan ouvrit les yeux, alors que l'aube souriait déjà par sa fenêtre. Se frottant les yeux, dans la chambre de son appartement de La Crosse, elle ouvrit les paupières, offrant son regard océanique à ce nouveau matin. S'étirant longuement, un sourire s'étira sur ses lèvres. Ce rêve, ce n'était pas la première fois qu'elle le refaisait depuis ce jour où il l'avait mise dehors et où elle était partie, trois jours plus tard. Trois jours où elle avait baigné dans assez d'eau salée pour le reste de ses jours. Trois journées où elle avait maudit tous les saints pour faire d'elle ce qu'elle était. Anormale. Anormale, oui, mais monstrueuse ? Elle ne le croyait pas. Elle ne le croit pas plus aujourd'hui. Carter est humain, Carter ne pouvait pas comprendre. Il ne pouvait pas digérer ce qu'elle lui a dit d'un trait. Il a réagit comme un être humain normal, et pourtant, Eva continua d'être fascinée par le genre humain. La violence de leur réaction, malgré leur entêtement à vouloir connaître ce qu'on tente de leur épargner. La jeune femme a subi une perte violente ce jour-là - son coeur, broyé par l'incendie non pas causer par les flammes, mais par les mots - mais elle ne regrette rien. D'aucun moment qu'elle a passé en sa compagnie. Ce dernier échange et les trois jours suivants ne sont rien en comparé de ce qu'elle a pu gagner. Qu'il puisse vieillir, aimer, engendrer et mourir, dans très longtemps, vieux et fatigué. Une vie contre une peine d'amour n'est rien, et c'est pourquoi elle se lève, le sourire aux lèvres. On ne sait jamais ce qu'un simple sourire peut faire...


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by &fan from Acide Édulcoré

    Behind the mask

    « Je m'appelle Marie-Chantal, et j'ai pas vraiment de pseudo parce que je sais absolument rien faire niveau graphisme. Emmecie, ça peut convenir, j'utilise ça sur un site de graphisme que j'adore. J'ai 18 ans, et je viens du Québec. Donc, là-bas, je suis majeure, je peux acheter de la loterie, de l'alcool et du tabac. Oh, et sortir en boîte et aller au casino. Il ne me reste que ce dernier à accomplir, alors ma liste s'affine depuis le mois de novembre. Le code, je l'ai pas encore cherché, je l'ajouterai plus tard. Au fait, très joli forum Coeur 4 , faudrait peut-être simplement supprimer les publicités sur les mots dans les messages et, au fait, le code c'est The man who can't be moved »


Dernière édition par P. Eva Callahan le Lun 19 Jan - 8:43, édité 1 fois
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Aidan G. Williams
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Aidan G. Williams


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MessageSujet: Re: p. eva callahan - « un sourire, c'est de l'espoir en barre » LOADING   p. eva callahan -  « un sourire, c'est de l'espoir en barre »     LOADING Icon_minitimeLun 19 Jan - 6:18

Merci beaucoup des compliments
bien que je n'aie pour ma part rien fait d'esthétique en ce qui concerne le forum XD

Bienvenue ici, je te souhaite bonne chance pour ta fiche! (:
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MessageSujet: Re: p. eva callahan - « un sourire, c'est de l'espoir en barre » LOADING   p. eva callahan -  « un sourire, c'est de l'espoir en barre »     LOADING Icon_minitimeLun 19 Jan - 8:44

Ça me fait plaisir ^^
Merci de m'avoir bienvenuter, en passant Coeur 2


J'ai terminé ma fiche,
En espérant que ça vous plaise et que ça ne soit pas trop ennuyant et long à aboutir xDD
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Aidan G. Williams
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MessageSujet: Re: p. eva callahan - « un sourire, c'est de l'espoir en barre » LOADING   p. eva callahan -  « un sourire, c'est de l'espoir en barre »     LOADING Icon_minitimeLun 19 Jan - 13:52

J'aime beaucoup ta présentation! (:
Elle est bien écrite, et ta plume est très belle!
Bref, je valide, bienvenue! =D
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M. Infinie Salieri

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MessageSujet: Re: p. eva callahan - « un sourire, c'est de l'espoir en barre » LOADING   p. eva callahan -  « un sourire, c'est de l'espoir en barre »     LOADING Icon_minitimeLun 19 Jan - 19:39

    Bienvenue à toi Very Happy
    Merci de ton isncription !
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Satheen C. Worthington

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MessageSujet: Re: p. eva callahan - « un sourire, c'est de l'espoir en barre » LOADING   p. eva callahan -  « un sourire, c'est de l'espoir en barre »     LOADING Icon_minitimeLun 19 Jan - 20:18

Bienvenue !
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Jessina Jones

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MessageSujet: Re: p. eva callahan - « un sourire, c'est de l'espoir en barre » LOADING   p. eva callahan -  « un sourire, c'est de l'espoir en barre »     LOADING Icon_minitimeLun 19 Jan - 20:55

Belle présentation!
J'aime pas ce Carter, il est méchant furious
Sinon, bienvenue à toi ^^
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Eden P. Gray

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Eden P. Gray


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MessageSujet: Re: p. eva callahan - « un sourire, c'est de l'espoir en barre » LOADING   p. eva callahan -  « un sourire, c'est de l'espoir en barre »     LOADING Icon_minitimeLun 19 Jan - 20:58

Bienvenue et belle fiche! si
je te met dans les fiches validées! Wink
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Enea P. Bennett

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MessageSujet: Re: p. eva callahan - « un sourire, c'est de l'espoir en barre » LOADING   p. eva callahan -  « un sourire, c'est de l'espoir en barre »     LOADING Icon_minitimeMar 20 Jan - 0:36

Bienvenuuue Coeur 2
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MessageSujet: Re: p. eva callahan - « un sourire, c'est de l'espoir en barre » LOADING   p. eva callahan -  « un sourire, c'est de l'espoir en barre »     LOADING Icon_minitimeMer 21 Jan - 6:33

Merci à tout le monde Coeur 2
Quel bel accueil ;; rire
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MessageSujet: Re: p. eva callahan - « un sourire, c'est de l'espoir en barre » LOADING   p. eva callahan -  « un sourire, c'est de l'espoir en barre »     LOADING Icon_minitime

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